On peut comprendre qu’une rue de la localité porte le nom de « Rue Perche à l’oiseau » quand on voit l’engouement que générait ce sport au vu des prix proposés.
- Un minimum de 4.500 francs de prix pour une mise de 7,25 francs : cela engendre la présences de plus de 600 archers !
- Des abattages allant jusque 1.000 francs l’oiseau : compte tenu du salaire journalier d’un ouvrier carrier de cette époque qui se circonscrit autour de 1,75 franc, cela correspond à près de deux années de salaire !