Quand on évoque le 22 à Asnières !!
Jusqu’au milieu des années 60 les communications téléphoniques étaient tributaires d’un passage par un « central téléphonique » où des préposés – le plus souvent des dames – mettaient en contact les deux usagers.
A Basècles, la plupart des abonnés étaient tributaires du central de Blaton. Seuls les clients situés au-delà de l’étang du « faubourg » étaient reliés à celui de Péruwelz (72).
Pour le Central de Blaton les numéros en 5 chiffres commençaient par 75 et lorsqu’on demandait un correspondant à l’opératrice la demande de communication se résumait à demander le « 13 » pour la brasserie Danhaive ou le « 317 » pour l’imprimerie Lejeune.
Pour une autre zone on demandait le numéro du correspondant précédé de sa zone : le 10 à Péruwelz correspondait à l’Imprimerie Colin.
Quand les raccordements s’accélérèrent au début des années 60, les nouveaux numéros commencèrent par 76 et le numéro complet dut dès lors être mentionné complétement.
Ces trois pages de couvertures de l’annuaire 1958-59 reprennent des publicités pour des commerces dont la plupart étaient situés à Basècles et qui sont malheureusement disparus aujourd’hui !
Date de dernière mise à jour : 05/07/2021